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En Afrique, passer le cap des 60 ans marque une étape essentielle, à la fois humaine et sociale. Mais pour trop de nos aînés, cela signifie aussi franchir un seuil critique : celui où l’accès aux soins se raréfie, où l’assurance santé devient inabordable, voire inaccessible. Pourtant, entre 2019 et 2025, une transformation discrète mais profonde s’est engagée — portée par l’évolution des mentalités, des innovations comme Susu, et des efforts publics naissants. Il est temps d’analyser cette dynamique et de s’interroger : et si prendre soin de sa santé après 60 ans devenait enfin la norme en Afrique ?
D’ici 2050, l’Afrique comptera plus de 210 millions de personnes âgées de 60 ans et plus, contre 69 millions en 2019 (UN). Cette évolution démographique, longtemps ignorée dans les politiques publiques, est désormais incontournable.
Depuis cinq ans, on observe une prise de conscience croissante :
Mais ces initiatives restent fragmentaires. Le vrai changement viendra de solutions intégrées, agiles, et centrées sur l’utilisateur. C’est là qu’intervient Susu.
Les chiffres sont alarmants :
Et pourtant, moins de 3 % de la population est couverte par une assurance santé formelle (Sagaci Research). Cette déconnexion entre besoin et accès est un signal d’alarme économique et humain.
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Créée en 2019, Susu s’est imposée comme une référence dans l’accompagnement médical structuré des populations vulnérables en Afrique.
Ce qui change aujourd’hui, c’est aussi le rapport à la santé. Des familles s’organisent pour financer des check-ups annuels. La diaspora joue un rôle majeur dans le suivi à distance. Les outils digitaux permettent d’alerter plus tôt, de rappeler un traitement ou une consultation.
L’idée selon laquelle “on ne va à l’hôpital que quand on est malade” s’efface progressivement. Susu participe à cette évolution en proposant des soins préventifs, des conseils réguliers, et une pédagogie continue via son app.
D’un point de vue économique, l’exclusion des seniors coûte cher :
À l’inverse, chaque dollar investi dans la prévention rapporte 4 dollars d’économies en soins futurs (World Bank). Inclure les aînés dans la couverture santé n’est pas une dépense : c’est un investissement rationnel, durable, et juste.
Prendre soin de sa santé après 60 ans n’est pas un luxe, c’est un devoir collectif.
Politiques publiques, assureurs, startups et diasporas doivent se mobiliser pour que l’Afrique vieillisse dignement.